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Finalement, nous sommes nés à la bonne époque !
NÉS ENTRE LES ANNÉES: 1930 et 1960
NOUS ÉTIONS PLUS FORTS
Premièrement, nous avons survécu à l'accouchement par des mères qui nous mettaient au monde dans des conditions précaires.
Elles prenaient de l' aspirine, mangeaient de la vinaigrette, des desserts, et n'étaient pas testées pour le diabète ou le cholestérol.
Après ce traumatisme, on s'endormait n'importe où, ou on nous couchait sur le ventre dans des lits à paillasse dans des chambres peintes au plomb.
Nous n'avions pas de serrures aux portes.
Lorsque l'on faisait de la bicyclette, on avait des casquettes, mais pas de casques de protection.Bébés et enfants, on nous emmenait dans de vieilles guimbardes sans chauffage, sans ceintures ni sièges pour bébés, ni air bag
Être dans la benne arrière d'une camionnette par une belle journée ensoleillée était toujours quelque chose d'extraordinaire.
Nous buvions l'eau directement de la fontaine et depuis les Romains dans les maisons les tuyaux étaient en plomb.
Nous mangions des gâteaux secs, du pain rassis, du vrai beurre, du saindoux du lard.
Nous buvions du chocolat avec du vrai sucre.
Et nous n'étions pas obèses, POURQUOI ?
Parce que nous étions toujours en train de bouger, de jouer dehors...
Nous sortions de la maison le matin pour jouer toute la journée au grand air, à condition d'être revenus quand les lampadaires s'allumaient.
Nous prenions des heures à construire nos planches à roulettes avec lesquelles nous descendions les côtes, sans freins. Après avoir foncé dans les buissons une paire de fois, nous avons appris à gérer les problèmes.
Nous n'avions pas de Playstations, Nintendo, X-box, iPod. Il n'y avait pas de jeux vidéos, pas 150 canaux au câble,pas de films vidéos ou dvd, pas de son stéréo ou de cd,pas de portable, pasd'ordinateur et pas d'Internet
Nous avions des amis et nous sortions dehors pour les retrouver !
Nous tombions des arbres, en faisant le parachute, on se coupait, se cassait des os, des dents et il n'y avait pas de poursuites judiciaires pour cela.
On nous offrait des fusils à plomb pour notre anniversaire,faisions des jeux avec des bâtons et des balles, des lance-pierres, des épées, des arcs et flèches, des fléchettes, nous faisions et jouions avec des radeaux de fortune sur les rivières, nous faisions des pistes de glissades sur les inondations des prairies gelées en hiver, nous allions à l'école en culottes courtes par tous les temps, noussautions et plongions des souches d'arbres des rivières non fréquentées,nous bricolions avec toutes sortes d'outils réputés dangereux des ateliers de nos parents, nous jouions avec des pétards à mèches, nous fumions des P4 à l'unité, nous sucions toute la journée des boite de coco, aux heures les plus chaudes les lessiveuses étaient nos plus belles piscines, nous descendions à toutes allures les côtes en herbes des vergers sur des plaques de linoléum ou balatum l'asphalte en guise de luge.
Les soirées exceptionnelles de grandes chutes de neige, nous avions la permission de jouer à la lueur des réverbères dans les rues enneigées, glissades et traineaux en bois fabriqués le jour même avec de vieilles planchettes et des cerclages métalliques d'emballages sous les patins occupaient notre temps et gelaient nos mains violettes sans gants et même si on nous disait que toutpouvait arriver, nous sommes pour la plus part toujours là.
Nous roulions sur nos vélos sans frein et sans éclairage marchions jusqu'à la maison d'un copain de classe ou de quartier et frappions à sa porte, nous entrions simplement, nous étions très bien accueillis.
L'idée que nos parents auraient un jour à nous faire sortir de prison était impensable, ils étaient AVEC la loi.L'idée que nos parents puissent être contre l'avis de l'instituteur, du professeur, du policier, du gendarme, du Maire, du curé, qu'ils puissent en venir aux mains ou aux insultes étaient inimaginable. Ces générations ont produit quelques-uns des meilleurs preneurs de risques, têtes pensantes et inventeurs de tous les temps, chefs d'entreprises,souvent autodidactes au bon sens débordant.
Ces 50 années ont été une explosion d'innovations et nouvelles idées.
Nous avions la liberté et la peur de l'échec, le succès et les responsabilités qui vont avec, mais nous avons appris comment gérer tout cela.
Si vous êtes un de ceux-là, si vous vous reconnaissez...
FÉLICITATIONS!
Peut-être que vous voulez partager ceci avec d'autres qui ont eu la chance de grandir, avant que les avocats ne viennent tout règlementer, avant que les "médias" ne prennent tant de plaisir à faire trembler les chaumières de leurs scoops dramatiques, sans certitudes...
juste pour le fun et le fric.
Comme la vie était belle, limpide, parfois rude mais combien nous étions heureux !
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Ce fleuve de plus de 1 000 kilomètres de long prend sa source dans la région des Grands-Lacs pour former le plus grand estuaire du monde. La nature y est particulièrement sauvage et préservée, il est possible d'y observer des espèces rares et protégées comme le grand rorqual bleu (également appelé "baleine bleue"), le bélouga... ou d'autres plus communs qui étonnent et émerveillent toujours lorsqu'ils apparaissent.
L'apparition.Le Saint-Laurent accueille treize espèces différentes de baleines. La plus grande est le rorqual bleu (également appelé "baleine bleue") qui peut atteindre jusqu'à 170 tonnes. On trouve également des bélugas, espèce fragile et protégée. Facilement identifiables, ils sont de couleur blanche et nagent en bandeUn joli champ de citrouilles à Saint-Fulgence, près de Chicoutimi. Elles seront prêtes pour célébrer Halloween le 31 octobre.Le zoo de Saint-Félicien est un site célèbre pour son ours polaire, véritable star mais aussi parce que les animaux y sont en liberté et les visiteurs... enfermés dans des wagonnets. Le zoo se trouve sur la rive ouest du lac saint-Jean, relié au Saint-Laurent au niveau de TadoussacParce qu'il ne faut pas oublier la proximité avec le Grand Nord, voici ce que l'on peut trouver un matin d'avril près du fleuve Saint-Laurent. Derrière, on aperçoit la ville de QuébecVision bucolique de deux Beavers sur le Lac MoïseLa culture de la canneberge (également appelée "cranberrie") nécessite beaucoup d'eau, notamment au moment de la récolte, puisque les champs sont inondés. Les baies sont récupérées grâce à un boudin flottant.Bien sûr, les hivers sont rudes et longs sur les rives du fleuve. Durant cette saison, la surface du fleuve se fige et les rives prennent une toute autre allure.Les plus hautes chutes du Québec ne sont pas celles du Niagara, mais de Montmorency. Elles sont situées dans le parc naturel du même nom et sont hautes de 83 mètresVoici les mêmes chutes figées dans la glace en hiver. Elles sont surmontées d'un pont suspendu où les touristes peuvent les observer de plus prèsLe château de Frontenac permet d'identifier à coup sûr la skyline de la ville de Québec. Le célèbre hôtel surplombe le fleuve avec majesté. Il fut construit à la fin du XIXe siècle en s'inspirant des châteaux de la RenaissanceJoli spectacle de glace près de Sept-ÎlesIci, c'est le pont Jacques Cartier qui relie la ville de Longueil à Montréal. Sa construction a commencé en 1925.Avec près de 120 000 Fous de Bassan réunis sur le même rocher, la colonie du "Parc national de l'Île Bonaventure et du Rocher Percé" est la plus importante du mondeLe rocher au large de la ville de Percé prend des allures de navire fantôme au petit matinA Rivière du Loup, un grand-père et sa petite fille s'équipent contre le vent.Cette région se visite aussi à l'automne : les couleurs sont somptueuses comme ici, une chute d'eau à Rivière-Loup.En hiver, le paysage semble couvert d'un fin et doux duvet. Ici à Sainte Brigitte de Laval, près de Beauport.Tourte québécoise
INGREDIENTS
- pâte brisée : 350 g
- porc haché : 700 g
- oignon : 250 g
- ail : 4 gousses
- persil ciselé : 2 c. à soupe
- huile d'arachide : 2 c. à soupe
- beurre : 1 noix
- jaune d'oeuf : 1
- sel, poivre
PREPARATION
Pelez les oignons et émincez-les, pelez les gousses d'ail et hachez-les. Versez l'huile dans une sauteuse, faites les fondre pendant 3 min. Ajoutez la viande et l'ail, salez, poivrez et faites cuire 4 min. à feu vif en mélangeant sans cesse. Puis retirez du feu, ajoutez le persil et mélangez.
Allumez le four à th.7 (210°C). Partagez la pâte en deux dont une part plus grosse. Étalez chaque moitié en forme de disque. Beurrez une tourtière ou un moule à bord haut de 25 cm. Posez le plus grand disque de pâte dans le moule en laissant dépasser les bords, versez la préparation à la viande, couvrez avec le second disque et soudez les deux côtés. Ménagez une petite ouverture au centre de la tourte. Battez le jaune d'oeuf avec une c. à soupe d'eau et badigeonnez-en la surface de la tourte.
Glissez au four et laissez cuire pendant 45 min. La tourte doit être bien dorée. Servez chaud.
VIN
Un Montravel (Blanc, Sud-Ouest)
(Vous pouvez remplacer la viande de porc par de la viande de boeuf, de poulet ou de lapin. Ces viandes étant plus sèches, il faut leur ajouter un peu de lard frais.)
11 commentaires -
On doit l’avouer, ça nous arrive souvent de se laisser vaquer à notre imagination et d’ imaginer des visages à travers des formes de la vie quotidienne. Alors libérez votre esprit et assistez à une série de photographies complètement délirante avec des visages en tout genre !
Cela peut sembler étrange à première vue, mais combien de fois vous arrive-t-il de trouver qu’une maison à des yeux et une bouche ou qu’une voiture paraît tout droit sortie du film Cars de Disney ? Si jamais ça ne vous est jamais arrivé, les images qui suivent vont vous prouver que nos objets du quotidien ont un bel et bien un visage ! Alors préparez-vous à changer la vision que vous avez d’eux, car derrière ces pièces de métal, se trouve peut-être une âme qui vit…
Le pare-chocs étonné
L'horloge en colère
La bande de joyeux briquets
L'église oiseau
Les heureuses casseroles
Le robinet triste
La souriante râpe à fromages
La fermeture éclair piranha
La table ours
La maison en colère
Les boîtes fatiguées
La fleur tête de mort
Le balai rasta
L'avion le plus heureux du monde
Le train le plus malheureux
La machine à laver qui vomit
Le siège qui tire la langue
Les lumières n'en reviennent pas
C’est étonnant de voir toutes ces images les unes après les autres. On ne parvient plus à les regarder normalement après ça. Laquelle d’entre elles vous a le plus marqué ?
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