• La galette

    Aimez-vous la galette ? Quant à moi je n'ai pas attendu le 6 janvier pour  en déguster

    Une bonne galette briochée, passée au four 

    La galette

     

     









    La galette des rois 

    Aujourd’hui, on mange la galette
    Je serai peut-être roi ? 
    J’aurai une couronne sur la tête 
    Tout le monde m’applaudira. 

    On me fait la référence, 
    On m’appellera « Majesté »
    Au bal je mènerai la danse
    Au bras de ma fiancée.

    Oui, mais avant d’être roi
    Il faut manger la galette
    La fève sera-t-elle pour moi ? 
    Hum, j’ai une chance sur sept.

    Corinne Albaut

     

     

    La galette


     








    Viens pour la galette 
    La grosse galette 
    Viens pour la galette 
    Des rois 

    J'ai caché la fève 
    La petite fève 
    Au creux de ma main 
    Pour toi 

    Pour toi Madeleine 
    Jolie Madeleine 
    Tu seras ma reine 
    À moi 

    Mais il ne faut rien dire 
    À Pierre à Jacquou 
    Car ils sont jaloux 
    De nous 
    Tu seras ma reine , Madeleine, 
    Et moi je serai ton roi 
    Tu seras ma reine 
    Et je serai ton roi 


    Mme Maillard - Mme Depelley


    La galette


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    La journée de la femme





    Les bons amants, ce sont les femmes qui les construisent.
    Les hommes, il faut tout leur apprendre et surtout leur laisser croire le contraire
     





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    Madame, Monsieur,

    Je m'appelle Joël Censier, j'ai 52 ans et trente ans de police derrière moi.
    En vous envoyant cette vidéo, j'ai conscience de commettre un acte grave.
    Mais c'est une question de conscience.
    Un de mes enfants, Jeremy, a été tué par un groupe de jeunes, alors qu'il rentrait à la maison. Ces jeunes, pour certains « bien connus des services de police », se sont déchaînés sur Jeremy, simplement parce qu'il était « fils de flic ». A dix contre un, ils l'ont tué avec une « barbarie inimaginable », selon les témoins et les médecins légistes.
    Vous en avez sans doute entendu parler à la télévision, ou dans les journaux. C'était à Nay, une ville du Sud-Ouest, le 22 août 2009.
    Pour Corinne, mon épouse, et pour moi, la vie s'est arrêtée ce jour-là. Nos nuits et nos jours ne sont plus qu'une succession de cauchemars insupportables. Jusqu'à la fin de nos jours, nous pleurerons cet enfant que rien ni personne ne pourra nous rendre.
    Mais cette vidéo n'a PAS pour but de vous raconter notre histoire, et encore moins de vous demander de nous plaindre.
    Ce n'est pas parce que notre enfant est mort que nous avons décidé de lancer cet appel. Si je vous parle aujourd'hui, c'est à cause de ce qu'il s'est passé après. Car cela concerne tous les citoyens qui, un jour peut-être, auront affaire comme nous à la Justice. Et nous ne voulons pas que d'autres connaissent ce que nous avons connu.
    Nous ne voulons pas que d'autres traversent les terribles épreuves que nous avons vécues après la mort de notre fils.
    Comme beaucoup de victimes, nous avons cru que la Justice allait nous défendre. Qu'elle allait tout faire pour poursuivre les assassins. Ou qu'elle allait, au minimum, essayer de les empêcher de recommencer. Mais non, ce fut TOUT LE CONTRAIRE.
    Dès les premières heures de la procédure, la Justice s'est rangée du côté des assassins. D'abord, le juge chargé de l'enquête a déclaré que, comme ils étaient dix, on ne pouvait pas savoir avec certitude qui avait donné les coups qui ont tué notre enfant.
    Il a donc immédiatement libéré sept des voyous, ne gardant que les trois plus dangereux.
    Peu de temps après, sur les trois, ils en ont relâché deux, sans raison.
    Toute poursuite pour meurtre a été abandonnée contre eux. Les magistrats ont déclaré qu'ils ne retiendraient que le délit de « violences volontaires ayant entraîné une interruption de travail supérieure à huit jours ».
    Oui, vous avez bien lu : une « interruption de travail supérieure à huit jours ». Un des délits les moins graves du code pénal. Alors que notre fils est mort !
    Mais le pire était à venir.
    Le 16 septembre dernier, c'est-à-dire il y a un mois, la Justice a décidé de relâcher pour « vice de forme » le dernier qu'elle détenait encore. Cet individu est pourtant le danger public qui a avoué être l'auteur de multiples coups de couteau sur notre fils : un coup qui a transpercé son cœur, un coup qui a traversé sa boîte crânienne, et d'autres encore qui l'ont défiguré.
    Mais la Justice l'a libéré pour « vice de forme » !
    Et quel « vice de forme » ? Ses avocats ont demandé une « mise en état du dossier de leur client, le 25 octobre 2010 ». Il s'agit d'une formalité purement juridique, sans aucune conséquence pratique sur la culpabilité de l'accusé.
    La chambre d'instruction avait trois mois pour leur répondre. Mais elle a dépassé ce délai. Alors les avocats ont exigé la libération du jeune. Et la Cour de Cassation leur a donné raison. Il a donc été immédiatement libéré.
    « Cette décision de remise en liberté pour non-respect des délais est une première en France dans l'application du texte concerné. C'est un immense soulagement », a déclaré l'avocat du tueur, Maître Sagardoytho.
    « Un immense soulagement » ; « une première en France ».
    Pour Corinne et pour moi, ces mots victorieux sont insupportables. Nous avons pensé à tous les autres parents qui, désormais, risquent de voir eux aussi les assassins de leur enfant libérés pour ce « vice de forme ».
    Alors nous avons décidé de lancer cet appel à toute la population pour protester auprès des autorités afin que cette affreuse injustice ne touche pas d'autres familles. Pour nous, c'est trop tard, la Justice ne reviendra pas en arrière.
    Mais si vous ne faites rien, le monde judiciaire et les hommes politiques considéreront que ce fonctionnement là de la Justice est accepté par l'opinion publique. Et le même scénario frappera d'autres familles.
    Il faut savoir que le jour de la reconstitution, toute la bande est arrivée le sourire aux lèvres, les mains dans les poches. Ils se sont amusés à raconter et re-raconter le meurtre, en changeant de version à chaque fois, pour se moquer de gendarmes, ou de nous. Ils étaient parfaitement décontractés et désinvoltes. Ils savaient qu'ils n'avaient rien à craindre. De mon côté, je pleurais de douleur. J'ai commencé à comprendre que la Justice était en train de nous lâcher.
    Sur le pont, à l'endroit de la reconstitution, un gendarme s'est approché de moi. Ce n'était pas pour me dire un mot de sympathie.
    Non. Il m'a présenté une convocation à la Gendarmerie. Une plainte avait été déposée contre moi pour « subornation de témoin », et je devais être entendu par les gendarmes. Je me suis retrouvé sur le banc des accusés parce que j'avais demandé à un témoin du meurtre de se manifester auprès des autorités. On m'a expliqué que ce n'était pas à moi de le faire, je devais « laisser la Justice faire son travail »...
    J'ai même risqué des poursuites pénales car j'avais parlé d'un des meurtriers de mon fils en disant que c'était un « enfoiré ». Son avocat me menaçait d'un procès en « diffamation ».
    C'est alors que mon épouse et moi avons décidé de ne plus nous laisser faire. Au lieu d'attendre passivement le procès, nous avons décidé de rejoindre l'Institut pour la Justice.
    L'Institut pour la Justice est un organisme indépendant qui regroupe des juristes, des victimes et des citoyens, qui œuvrent pour réformer la Justice française. Cet Institut a élaboré un Pacte 2012, qui sera présenté à tous les candidats à l'élection présidentielle, pour demander des réformes urgentes du système judiciaire.
    Vous pouvez contribuer aujourd'hui à faire passer ces réformes, et à sauver des victimes futures, en signant le Pacte 2012 pour la Justice, en cliquant sur le bouton ci-dessous. Car si nous sommes des centaines de milliers de citoyens à soutenir ces propositions de réforme, les candidats seront obligés de nous écouter ; c'est une question de poids électoral. Mais c'est aussi une question de conscience et de justice.
    Lorsqu'on n'y est pas personnellement confronté, on pense souvent que la Justice fait bien son travail. On n'ose pas demander qu'elle soit plus rigoureuse envers les délinquants et les criminels, de peur d'être accusé de manquer d'humanité.
    Mais je peux vous dire, après trente ans d'expérience dans la Police, que vous n'avez pas à craindre cela. Il est rarissime qu'un vrai délinquant soit traité trop sévèrement en France. La plupart des délinquants bénéficient même d'une impunité à peine croyable.
    On entend souvent parler de "violation des Droits de l'homme" dans nos prisons. Mais savez- vous pourquoi 225 détenus, dans une prison de Lyon, viennent de lancer une pétition pour dénoncer « des conditions de détention inacceptables » ? Ces conditions « inacceptables » c'est qu'il leur est interdit d'utiliser... la Playstation 3 dans leur cellule !!
    Il n'est pas rare que la Justice relâche un délinquant arrêté des dizaines, voire des centaines de fois par la Police. Le Préfet de Police de Paris, lui-même, en a témoigné dans la presse, le 8 septembre dernier.
    Il a cité le cas d'un homme qui venait d'être arrêté pour la 97eme fois. Peut-on imaginer pire mépris pour les victimes ?
    Des dizaines de milliers de personnes âgées sont cambriolées chez elles chaque année, sans qu'on ne se donne même plus la peine de rechercher les coupables, parce qu'on sait qu'ils seront de toute façon relâchés par la Justice.
    Des femmes se font violer, ou disparaissent, et on laisse leurs agresseurs libres de recommencer sous des prétextes dérisoires.
    Aujourd'hui, il est grand temps que les candidats aux élections s'en aperçoivent.
    Mais si nous voulons être sûrs qu'ils se prononcent officiellement, alors il est indispensable que nous soyons des centaines de milliers à signer le Pacte 2012 de l'Institut pour la Justice. J'espère que vous allez le signer et transmettre cette vidéo à tout votre entourage.
    Il ne s'agit pas de mesures « répressives », et encore moins de réclamer un retour en arrière. Il s'agit simplement de recentrer la Justice sur sa mission première de protection des citoyens. Instaurer un fonctionnement normal, moderne et juste de l'institution judiciaire, adapté à la réalité d'aujourd'hui, dans lequel les citoyens puissent avoir confiance.
    Nous demandons:
    - que les peines de prison soient vraiment appliquées quand elles sont prononcées ; il faut savoir en effet qu'actuellement, 80 000 peines de prison restent non exécutées, faute de place.
    - que les victimes aient au moins autant de droits que les accusés, car aujourd’hui la triste réalité est que les délinquants ont souvent plus de droits et de considération que les victimes ;
    - qu’aucune atteinte aux personnes et aux biens ne reste impunie, car les plaintes classées sans suite sont une invitation à la récidive;
    - que les lois nous protègent vraiment des criminels récidivistes ; aujourd’hui, la perpétuité dure 20 ans en moyenne. Même les prédateurs les plus dangereux ont vocation à sortir de prison ;
    - que la justice et les magistrats soient responsables devant les citoyens, parce que leurs décisions sont prises au nom du peuple français ;
    La mise en œuvre de ce Pacte serait un changement considérable pour la protection des citoyens et des victimes.
    Mais même si ces mesures peuvent vous paraître évidentes, elles n'ont aucune chance d'être reprises par les candidats à la présidentielle et votées dès 2012 si des centaines de milliers de citoyens ne se manifestent pas pour les demander maintenant.
    C'est pourquoi je vous demande de cliquer sur le bouton ci-dessous pour signer votre Pacte 2012, puis de transférer ce message à vos amis, votre famille, vos collègues.
    De notre côté, nous mobilisons d'importants moyens humains et financiers pour :
    - rassembler des dizaines, des centaines de milliers de signatures ;
    - préparer des dossiers précis, justifiant le coût et la faisabilité de chacune de nos réformes, avec des avocats et des juristes spécialisés ;
    - mobiliser la presse, pour que cette action soit médiatisée le plus largement possible ;
    - organiser des rencontres officielles avec chaque candidat, pour obtenir leur engagement à mettre en œuvre nos réformes, en cas d'élection.
    Mais quoi que nous fassions, nous ne serons entendus que si des milliers de citoyens comme vous exprimez votre soutien. C'est une question de légitimité.
    C'est pourquoi votre signature est cruciale aujourd'hui.
    Au nom de mon enfant, de ma famille, et de mon pays, je vous dis merci.

    Joël Censier
     


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  • Bonjour tout 05112

     

    AVE MARIS STELLA

     

     

     

    Sous les coiffes de lin, toutes croisant leurs bras
    Vêtus de laine rude ou de mince percale,
    Les femmes à genoux sur le roc de la cale,
    Regardent l' Océan blanchir l'île de Batz.

     
    Les hommes, pères, fils, maris, amants, là-bas
    Avec ceux de Paimpol, d'Audierne et de Cancale,
    Vers le Nord sont partis pour la lointaine escale,
    Que de hardis pêcheurs qui ne reviendront pas !

     
    Par dessus la rumeur de la mer et des côtes,
    Le chant plaintif s'élève, invoquant à voix hautes
    L'Etoile sainte : espoir des marins en péril ;

     

    Et l'Angélus, courbant tous ces fronts noirs de hâle,
    Des clochers de Roscoff à ceux de Sybiril,
    S'envole, tinte et meurt dans le ciel rose et pâle.

     

    (José Maria de Hérédia 1842-1905)

     

     

     

     

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  •  

    C'était la nuit de Noël, un peu avant minuit, 
    A l'heure où tout est calme, même les souris.
    On avait pendu nos bas devant la cheminée, 
    Pour que le Père Noël les trouve dès son arrivée.
    Blottis bien au chaud dans leurs petits lits, 
    Les enfants sages s'étaient déjà endormis.
    Maman et moi, dans nos chemises de nuit, 
    Venions à peine de souffler la bougie,
    Quand au dehors, un bruit de clochettes, 
    Me fit sortir díun coup de sous ma couette.
    Filant comme une flèche vers la fenêtre, 
    Je scrutais tout là haut le ciel étoilé.
    Au dessus de la neige, la lune étincelante, 
    Illuminait la nuit comme si c'était le jour.
    Je n'en crus pas mes yeux quand apparut au loin, 
    Un traîneau et huit rennes pas plus gros que le poing,
    Dirigés par un petit personnage enjoué : 
    C'était le Père Noël je le savais.
    Ses coursiers volaient comme s'ils avaient des ailes. 
    Et lui chantait, afin de les encourager : 
    " Allez Tornade !, Allez Danseur ! Allez , Furie et Fringuant ! 
    En avant Comète et Cupidon ! Allez Eclair et Tonnerre ! 
    Tout droit vers ce porche, tout droit vers ce mur ! 
    Au galop au galop mes amis ! au triple galop ! "
    Pareils aux feuilles mortes, emportées par le vent, 
    Qui montent vers le ciel pour franchir les obstacles , 
    Les coursiers s'envolèrent, jusqu'au dessus de ma tête, 
    Avec le traîneau, les jouets et même le Père Noël.
    Peu après j'entendis résonner sur le toit 
    Le piétinement fougueux de leurs petits sabots.
    Une fois la fenêtre refermée, je me retournais, 
    Juste quand le Père Noël sortait de la cheminée.
    Son habit de fourrure, ses bottes et son bonnet, 
    Etaient un peu salis par la cendre et la suie.
    Jeté sur son épaule, un sac plein de jouets, 
    Lui donnait l'air d'un bien curieux marchand.
    Il avait des joues roses, des fossettes charmantes, 
    Un nez comme une cerise et des yeux pétillants,
    Une petite bouche qui souriait tout le temps, 
    Et une très grande barbe d'un blanc vraiment immaculé.
    De sa pipe allumée coincée entre ses dents, 
    Montaient en tourbillons des volutes de fumée.
    Il avait le visage épanoui, et son ventre tout rond 
    Sautait quand il riait, comme un petit ballon.
    Il était si dodu, si joufflu, cet espiègle lutin, 
    Que je me mis malgré moi à rire derrière ma main.
    Mais d'un clin d'oeil et d'un signe de la tête, 
    Il me fit comprendre que je ne risquais rien.
    Puis sans dire un mot, car il était pressé, 
    Se hâta de remplir les bas, jusqu'au dernier, 
    Et me salua d'un doigt posé sur l'aile du nez, 
    Avant de disparaître dans la cheminée.
    Je l'entendis ensuite siffler son bel équipage.
    Ensemble ils s'envolèrent comme une plume au vent.
    Avant de disparaître le Père Noël cria : 
    " Joyeux Noël à tous et à tous une bonne nuit "

     

    Joyeux Noël à toutes et tous



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  • Une nouvelle semaine commence. Bon courage aux travailleurs

     

    Accueil

     

    La Vieille Ville de La Rochelle

    (un article que j'ai retrouvé sur unblog, j'avais fait un essai en 2007)
     

    Le bonheur des flâneurs et des amateurs de quartiers anciens.

     

    La Rochelle, porte de la Grosse Horloge, entrée dans la vieille ville

    La Rochelle, la porte de la Grosse Horloge

    Au Moyen-Âge,elle était la porte qui permettait de passer du port à la ville.La tour gothique du Moyen-Âge a été complétée au 18ème siècle par un couronnement avec un beffroi qui abrite la cloche et l'horloge, d'où son nom.

    La Rochelle, la vieille ville, rue du Temple

    La Rochelle, rue du Temple.

     

    Il ne faut pas manquer de lire les plaques de rues. On y retrouve des noms qui expriment bien le passé de La Rochelle.

    Après le passage de la porte de la Grosse Horloge, on arrive sur la place des Petits-Bancs. On apprend que le nom de cette place vient de l'activité des changeurs de monnaies. Ils se tenaient derrière une table appelée “banc”. Pour l'anecdote, le mot “banc” est à l'origine du mot “banque”.

    La rue du Palais conduit à l'Hôtel de la Bourse (Chambre de Commerce) et au Palais de Justice.

    La rue du Temple, rue très commerçante qui part vers la droite à partir de la place des Petits-Bancs, tire son nom de la commanderie des Templiers, installée à proximité au Moyen-Âge.

    Puis au hasard des pas, on retrouve des noms comme la place de la Caille, la rue de la Ferté, la rue de la Grille, la rue de l'Escale, la rue des Templiers, la rue des Augustins, la rue des

    Gentilshommes, la rue des Dames, la rue des Trois Fuseaux, la rue des Merciers qui conduit à la place du Marché, la rue du Minage et évidemment la rue du Port et la Petite rue du Port.

    La Rochelle, la vieille ville, rue Saint-Sauveur

    Rue Saint-Sauveur

    Le quartier Saint-Sauveur est constitué de petites rues entre les rues commerçantes et le vieux port.

    Il doit son nom à l'église Saint-Sauveur. Un panneau d'information nous éclaire sur l'histoire de cette église:

    La Rochelle, église Saint-Sauveur

    Le clocher est conservé pour être utilisé comme tour de guet et plate-forme à canons.

     

      Le Vieux Port de La Rochelle

    Le Vieux Port avec ses tours et ses quais, image emblématique de La Rochelle et endroit le plus animé de la ville.

    La Rochelle, avant-port

    Avant-port

    Le 12ème siècle, c’est la grande époque d’Aliénor d’Aquitaine. En 1152 à Bordeaux, Aliénor d'Aquitaine, divorcée du roi de France Louis VII, épouse le futur roi d'Angleterre Henri Plantagenêt, qui devient le roi Henri II d'Angleterre en 1154. L'Aquitaine, incluant La Rochelle, devient province anglaise.

    La Rochelle, Vieux Port, quai Duperré

    La Rochelle, Vieux Port, le quai Duperré avec la statue de l'amiral Duperré

    L’amiral Duperré (1775 – 1846), né à La Rochelle, commandait la flotte française en 1830 à la prise d’Alger.

    Il sera ensuite nommé ministre de la marine sous Louis-Philippe.

     

     

     

    Les “trois” tours de La Rochelle

    Quand on parle des tours de La Rochelle, on parle de trois tours, la tour Saint-Nicolas, la tour de la Chaîne et la tour de La Lanterne, dite aussi “tour des Quatre Sergents”.

    La Rochelle, la tour Saint-Nicolas

    La Rochelle, la tour Saint-Nicolas, côté Vieux Port.

     

    La Rochelle, la tour de la Chaîne et la tour de la Lanterne, vue du haut de la tour Saint-Nicolas La Rochelle, la tour de la Chaîne et la tour de la Lanterne
    La Rochelle, la tour de la Chaîne et la tour de la Lanterne, vues du haut de la tour Saint-Nicolas.

    La Rochelle, la tour de la Chaîne et la tour de la Lanterne,

    La Rochelle, tour de la Lanterne La Rochelle, la flèche gothique de la tour de la Lanterne
    La Rochelle, la tour de La Lanterne ou “tour des Quatre Sergents”.

    La Rochelle, la flèche gothique de la tour de la Lanterne.


    L’Hôtel de ville, un remarquable édifice et un moment fort de la visite de la vieille ville de La Rochelle.

     

    La Rochelle, Hôtel de Ville, porte gothique

    l'enceinte gothique et la tour-beffroi de l'Hôtel de Ville.

    La Rochelle, Hôtel de Ville, statue d'Henri IV

    Hôtel de Ville, la statue d'Henri IV.

    L'aquarium de la Rochelle

     

     

    Le bassin des requins

     

    Le bassin des requins

     
     
     
     
     
     
    BANC DE POISSONS
     

    Banc de poissons

    Méduses

    Méduses

     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     

    Les nautiles

    Les nautiles

    Poisson scie

    Poisson scie

     

     


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    Au nord-est de l'Ecosse, le Speyside compte un grand nombre de distilleries. A tel point qu'il a souvent été surnommé le "Triangle d'or" du whisky. Avec une terre, un climat parfaitement adaptés à la culture de l'orge et une eau relativement pure, elle réunit les conditions idéales à la fabrication du précieux alcool. Suivre l'itinéraire de la route du whisky permet de découvrir neuf distilleries, de Dufftown, à Elgin en passant par Rothes ou Forres. Chacune d'elles révèle les différentes phases de fabrication du breuvage et permet l'apprentissage des règles d'or de la dégustation. Au fil des visites, l'histoire du whisky écossais se dévoile, révélant au visiteur un épisode agité de son passé, celui de la distillation de contrebande.

     


     

    Le whisky repose au minimum trois ans dans des fûts de chêne.

     

     

    Glenfiddich est l'une des rares distilleries écossaises à avoir résisté aux rachats intempestifs par les grands groupes de spiritueux. Créée en 1887 par William Grant, elle fut transmise de pères en filssans jamais sortir du cercle familiale. Premier exportateur de single malts dans le monde, W. Grant & Sons se targe d'être également le dernier single malt des Highlands a être embouteillé sur place. Distillés dans trois alambics différents, ses whiskies sont plus légers, complexes et saponifères.  

     
     
     

    La diistillerie Strathisla, à Keith, fut fondée en 1786

    Alambics en cuivre servant à séparer l'alcool de l'eau.

    Alcool de malt. Le whisky représente la boisson nationale de l'Ecosse

    Empilage de fûts de whisky colorés

    Brassage de malt broyé et d'eau chaude

      La distillation est la dernière phase de fabrication de l'alcool avant la mise en  fûts   de chêne.

    Les fûts de chêne, poreux, laissent évaporer un peu d'alcool

     

     

    La rivière Spey a donné son som à la région

     


      

      

      


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  • http://poussinette.p.o.pic.centerblog.net/f8w8z9yx.gif

     

     

    La terre vous parle-t-elle ?
    Vous est-il arrivé une fois d'entendre la terre parler?
    Moi oui...

    Partout où je suis. Elle n'arrête pas de me poursuivre.
    Dans mon réveil, dans mon sommeil, sous ma douche, quand je marche,
    et même quand je mange.
    Elle n'arrête pas de me parler :

    '' Vous me fatiguez, vous m'épuisez, vous me déchirez avec vos bombes...
    Vous me poignardez avec vos missiles, vous faites trop de bruits.
    Je vous donne à boire,
    je vous donne à manger,
    certains trouvent le moyen de laisser les autres mourir de faim...

    Je vous allaite dès votre naissance et à la fin de votre vie, je vous reçois,
    je vous accueille je me fais lit pour vous accueillir.

    Je vous sucre, je vous pastèque, je vous mandarine,
    je vous fleure, je vous jasmine,
    je vous donne mes odeurs pour vous égayer,
    je vous emmène dans ma mémoire jusqu'à vos ancêtres,
    je me tapisse de neige pour vous distraire et de sable pour vous plaire.

    Je me grotte, je me roche, je minéralise,
    je cicatrice vos blessures.

    Je vous donne les fruits de mes entrailles,
    je vous porte, je vous emporte,
    sur chacun de vous il y a mes empreintes, mes couleurs, mes accents,
    c'est sur moi que tout s'appuie, votre équilibre vous me le devez.

    Ne vous ai-je pas ouvert mon ventre pour répondre à vos besoins ?
    Si je disparaissais où pourriez-vous planter vos arbres ?
    Si je retirais mes eaux que pourriez-vous boire ?
    Si je voilais toutes mes beautés, que pourriez-vous voir ?

    Quand vous suffoquez, je vous aère.

    Je me laisse me labourer et vous me goudronnez,
    je me laisse vendanger et vous me nucléarisez.

    Vous ai-je déprimé avec mes jardins ?
    Vous ai-je stressé avec mes parfums ?

    J'étouffe...
     
    Texte de Raouf Ben Yghlane


     


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    Chaque année, l'Angleterre et l'Allemagne se livrent une véritable bataille sans merci

    Une compétition sans arme, ni violence, qui se passe sur un terrain artistique dans le cadre d'un concours de sculptures en bois

     

    Ces sculptures en bois ont été réalisées à coups de tronçonneuse

     

     

    Un fauconnier

    Un coq britannique

    Une fée

    La tête d'une sorte de divinité païenne

    Une créature qui sort de terre

    Une drôle d'horloge

    Renarde et sa progéniture

    Un maître et son chien

    Un orang outan

    Un garçonnet et ses animaux

     

     

     

     


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    *~*~*Mourir le dernier*~*~*

     

    Deux vieillards marchent sur la rue 
    Tous leurs amis sont maintenant disparus 
    Aujourd’hui un autre a été enterré 
    Et ils se demandent qui sera le dernier 
    Assis à une table ils se content leurs souvenirs 
    Sans se soucier du dernier qui va mourir 
    Ils savent très bien que le compte à rebours s’achève 
    Mais ils sont déjà si loin dans leurs rêves 
    Perdu dans un coin merveilleux de leur vie 
    En pensant à leurs femmes ou à leurs amis 
    Et puis des larmes naissent dans leurs yeux 
    Est-ce parce qu’ils sont heureux, ou vieux 
    Un vieil homme marche seul dans la rue 
    Tous ses amis sont maintenant disparus 
    Car aujourd’hui il a enterré le dernier 
    Mais il sait très bien qui est le dernier 
    Comme ça doit être triste d’être le dernier à mourir 
    Sans plus personne pour se rappeler des souvenirs 
    Sans plus personne pour se faire consoler 
    Comme il doit avoir envie de se tuer 
    Un vieil homme est assit et attend la mort 
    Il endure toutes les souffrances de son corps 
    En pensant à ses amis qui ont retrouvé leur jeunesse 
    En pensant à sa solitude et à sa détresse 
    Tout à coup il a peur d’être devenu immortel 
    Il aimerait bien être déjà rendu au ciel 
    Auprès de sa femme et de ses amis 
    Car le vieil homme voit en eux le paradis

    Auteur inconnu

    *~*~*Quand je serai vieille *~*~*

     

    Quand je serai vieille.
    Je veux qu'on m'appelle par mon nom 
    ou mon prénom, selon mes fantaisies. 

    Je veux qu'on prenne le temps d'être un peu avec moi, parfois même dans un silence confortable. 

    Qu'on me touche et qu'on me prenne la main, seulement si ça me convient. 

    Que toutes les attitudes envers moi me 
    rappellent que je suis une vraie personne, 
    même si je fonctionne au ralenti, même si 
    j'ai quelques faux plis!

    Si la situation devient trop difficile, 
    peut-être ferais-je un peu la confuse 
    pour savoir ce que vous pensez réellement 
    de moi, peut-être serais-je réellement confuse...
    J'aurai alors besoin de plus de tendresse et 
    de chaleur, mais pas de me sentir dans une pouponnière !

    Si je n'entends plus, qu'on m'écrive des messages, 
    qu'on me laisse à proximité des tonnes de papier.
    Si je ne vois plus, qu'on me donne l'occasion 
    d'entendre de beaux textes, de la belle musique. 
    Surtout parlez-moi en m'approchant, nommez-vous 
    pour que je sache qui rôde dans ma chambre.

    Si je ne parle plus, regardons-nous dans les yeux, 
    lentement et le temps qu'il faut. 

    J'aurai l'impression que quelqu'un tente de me comprendre. 

    Comprenez que je crie de détresse et d'impuissance: 
    le silence est si indécent, si angoissant.

    Si je n'ai plus la force de tenir un livre, aidez-moi à trouver un autre moyen de me nourrir l'esprit.

    Auteur inconnu


     

     



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