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Quelques petits soucis de santé et, je ne suis pas venue vous rendre visite. Je vais visiter vos blogs plus tard dans la journée
J'aime celui qui m'aime
Est-ce ma faute à moi
Si ce n'est pas le même
Que j'aime chaque fois
Je suis faite comme ça
Que voulez-vous de plus
Que voulez-vous de moi
Je suis faite pour plaire
Et n'y puis rien changer
Mes talons sont trop hauts
Ma taille trop cambrée
Mes seins beaucoup trops durs
Et mes yeux trop cernés
Et puis après
Qu'est-ce que ça peut vous faire
Je suis comme je suis
Je plais à qui je plais
Qu'est-ce que ça peut vous faire
Ce qui m'est arrivé
Oui j'ai aimé quelqu'un
Qui quelqu'un m'a aimée
Comme les enfants qui s'aiment
Simplement savent aimer
Aimer aimer
Pourquoi me questionner
Je suis là pour vous plaire
Jacques Prévert
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Pépé était ce type de personne que tout le monde aimerait être.
Toujours de bonne humeur, il avait toujours quelque chose de positif à dire.
Quand quelqu’un lui demandait comment il allait, il répondait toujours : “Impossible d’aller mieux!”
Il avait changé plusieurs fois de travail et plusieurs de ses collaborateurs l’avaient suivi.
La raison pour laquelle ils le suivaient était son attitude : c’était un leader né.
Si un de ses employés était dans un mauvais jour, Pépé était là pour lui faire voir le côté positif de la situation.
Un jour, je suis allé voir Pépé
et je lui ai demandé :
Je ne comprends pas… ce n’est pas possible d’être positif tout le temps
Comment fais-tu ?
Pépé me répondit :
Chaque matin, je me réveille et je me dis : “Pépé, tu as deux options aujourd’hui : tu peux choisir d’être de bonne ou de mauvaise humeur. Je choisis d’être de bonne humeur.
Chaque fois que quelque chose de désagréable m’arrive, je peux choisir de me comporter en victime ou d’apprendre de l’expérience.
Je choisis d’apprendre".
“ Chaque fois que quelqu’un vient se plaindre, je peux accepter sa remarque ou lui montrer le côté positif de la vie. Je choisis de lui montrer le côté positif de la vie.”
- Oui, bien sûr, mais ce n’est pas si facile, lui ai-je répondu.
Sí, ça l’est, répondit Pépé. Tout, dans la vie, est une question de choix. Si tu simplifies, toute situation se résume à un choix. Tu choisis comment réagir devant chaque situation, tu choisis la façon dont les autres influencent tes états d’âme, tu choisis d’être de bonne ou de mauvaise humeur.
En résumé
J’ai longuement réfléchi à ce que Pépé m’avait dit...
Pour des questions de résidence, nous avions perdu le contact, mais je pensais souvent à Pépé quand je devais faire un choix.
Plusieurs années plus tard, j’appris que Pépé avait fait une chose qu’il ne faut jamais faire. Il avait laissé une porte ouverte et un matin, trois voleurs armés vinrent cambrioler sa société.
Quand Pépé, tremblant de peur, essayait d’ouvrir le coffre fort, sa main glissa. Les voleurs pris de panique, lui tirèrent dessus.
On trouva Pépé relativement vite, on l’emmena d’urgence à l’hôpital. Après huit longues heures d’opération et des semaines de réhabilitation intensive, Pépé sortit se l’hôpital avec encore quelques fragments de balle dans le corps.
Six mois plus tard, je retrouvais Pépé et quand je lui demandais comment il allait, la réponse restait invariablement : “Impossible d’aller mieux”
Quand je lui ai demandé ce qui lui était passé par la tête le jour du cambriolage, il m’a répondu :
“ Quand j’étais blessé, allongé par terre, je me suis souvenu que j’avais deux options, je pouvais vivre ou mourir. J’AI CHOISI DE VIVRE.”
“Tu n’as pas eu peur?” lui ai-je demandé
Pépé poursuivit : "Les médecins ont été fantastiques, ils ne se lassaient pas de me dire que tout allait bien se passer. Pourtant, quand ils m’ont emmené au bloc opératoire, quand j’ai vu l’expression sur leurs visages, j’ai vraiment pris peur. Je pouvais lire dans leur regard “Cet homme est un homme mort…”. J’ai alors su que je devais prendre une décision.”
Qu’as-tu fait? lui ai-je demandé.
Pépé me répondit: “Quand un des médecins m’a demandé si j’étais allergique à quelque chose, prenant un profonde respiration, j’ai crié : - "Sí, aux balles!" – Pendant qu’ils riaient et je leur ai dit : “ je choisis de vivre, opérez-moi comme si j’étais vivant, pas comme si j’étais mort".
Pépé a survécut grâce aux médecins mais surtout grâce à sa SURPRENANTE ATTITUDE.
Il avait appris que CHAQUE JOUR, NOUS AVONS LE CHOIX de vivre pleinement ou non. En fin de compte, L’ATTITUDE, c’est tout ce qui importe.
Finalement,
dans tout
Ce que tu es
Comment tu te sens
Comment les autres te voient
Comment tu vis
TOI SEUL PREND LA DECISION !
Maintenant, tu as deux options :
-1. Oublier ce message
-2. Le partager avec tous ceux que tu apprécies
Et souviens-toi :
CEUX QUI SE FRUSTRENT SONT CEUX QUI N’ONT PAS SU VOIR LE CÔTÉ POSITIF DE LEURS RÉSULTATS ET DE LEUR VIE…
Moi, j’ai choisi de le partager avec vous
JE VOUS EMBRASSE ET BON CHOIX .......
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Jean-François
La maman rentre plus tôt du boulot et trouve son gamin de 6 ans en train de fumer.
Stupéfaite, elle s'écrie :
- Jean-François, mais que fais-tu ?
- Ben je fume !
- Tu fumes, à 6 ans, il y a encore d'autres choses que je ne sais pas ?
- Euh, oui, je baise !
- Sur quoi la maman s'évanouit. Quand elle reprend ses esprits,
elle raconte le tout à son mari qui ne peut y croire et qui va à son tour trouver son rejeton.
- Le papa : Jean, tu as des choses à me dire
- Je fume !
- Rien d'autre ?
- Je baise.
- Tu baises, à 6 ans, mais avec qui ?
- Je ne me rappelle plus, j'étais bourré...
Monique et germaine
C'est Monique et Germaine, deux vieilles paysannes, qui s'en vont
ramasser des patates dans les champs.
Soudain Monique sort de la terre humide, deux grosses patates et dit :
- Vindiou, on dirait les coucougnettes du Robert !!!
Germaine, étonnée par la taille des féculents, répond :
- Oooohhh aussi grosses ? !!!
- Non ...mais aussi sales !!!
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Le gendre...
Un homme âgé se retrouve sur la table d'opération attendant d'être opéré.
Il insiste pour que ce soit son gendre, l'éminent chirurgien, qui procède à cette chirurgie.
Avant d'être endormi, il demande à parler à son gendre et lui dit:
Ne sois pas nerveux , fais de ton mieux. Et si ça tourne mal et que quelque chose devait m'arriver, souviens-toi que ta belle-mère va aller habiter chez toi!!Le chapeau
Un gars se fait bronzer tout nu sur une plage. Pour ne pas attraper un coup de soleil il a couvert son sexe avec un chapeau. Une dame passe et lui dit avec un grand sourire :
- si vous étiez un gentlemen vous soulèveriez votre chapeau
Le gars lui répond :
- si tu étais belle connasse il se soulèverait tout seul
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Aimez-vous la galette ? Quant à moi je n'ai pas attendu le 6 janvier pour en déguster
Une bonne galette briochée, passée au four
La galette des rois
Aujourd’hui, on mange la galette
Je serai peut-être roi ?
J’aurai une couronne sur la tête
Tout le monde m’applaudira.On me fait la référence,
On m’appellera « Majesté »
Au bal je mènerai la danse
Au bras de ma fiancée.Oui, mais avant d’être roi
Il faut manger la galette
La fève sera-t-elle pour moi ?
Hum, j’ai une chance sur sept.Corinne Albaut
Viens pour la galette
La grosse galette
Viens pour la galette
Des roisJ'ai caché la fève
La petite fève
Au creux de ma main
Pour toiPour toi Madeleine
Jolie Madeleine
Tu seras ma reine
À moiMais il ne faut rien dire
À Pierre à Jacquou
Car ils sont jaloux
De nous
Tu seras ma reine , Madeleine,
Et moi je serai ton roi
Tu seras ma reine
Et je serai ton roi
Mme Maillard - Mme Depelley
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Alors qu’elle était plongée en pleine étreinte charnelle avec son mari, Carla Bruni se releva de la peau de bête sur laquelle ils étaient allongés, l’air fâché. « Tu sais comment tu viens de m’appeler ? ». Le président Sarkozy rajusta son caleçon. « Heu… Ma caille ? Ma choupinette ? Pupuce ? ». La belle italienne se renfrogna, jusqu’à se faire une ride sur le front. Après avoir réservé une séance chez son plasticien afin de régler le problème, elle regarda le Président, ses yeux de chat lançant des poignards. « Tu m’as appelé Angela ! C’est la troisième fois cette semaine ! ». Furieuse, elle ouvrit la porte de sa commode, à la recherche d’un manteau à enfiler avant de claquer la porte de l’Elysée. Angela Merkel, cachée entre deux visons, lui adressa un sourire navré. « Madame Bruni, ce n’est pas ce que vous croyez ».
Le président français et la chancelière allemande passaient tout leur temps ensemble, occupés qu’ils étaient à sauver la zone euro. Pour des raisons de commodité, ils avaient donc emménagé à deux, après avoir signé un Pacs qui leur offrait d’intéressantes réductions d’impôts. Angela Merkel dormait sur un lit de camp, installé dans la salle du conseil des ministres. En temps de crise, la solidarité s’exerçait à plein : Alain Juppé, la découvrant un matin en pyjama, lui avait prêté sa trousse de toilette, en lui précisant qu’il n’avait pas de peigne. Angela Merkel portait depuis lors du Drakkar Noir et avait appris à se raser.
Sarkozy regarda sa femme. « Je ne t’ai rien dit car je ne me souvenais pas de ton numéro de téléphone. Comment va notre petit garçon ? ». Carla Bruni l’interrompit. « C’est une fille. Rappelle-toi, tu l’as vue deux fois le mois dernier ». Elle se jeta à son cou. « Nicolas, tu restes mon super-héros ! En sauvant le monde, tu es pour moi comme Batman, sans la tenue de latex, puisqu’elle te ferait ressembler à DSK en soirée coquine. Par contre, il va falloir qu’elle se termine, la crise, que tu puisses enfin rentrer à la maison ! ». Le président baissa la tête et se mit à pleurer. Malgré ses efforts, la France allait perdre son triple A. « Je n’ose même pas appeler mon père Pal, avec un bulletin de notes aussi pourri, il serait capable de m’offrir une de ses peintures pour me punir ». Carla Bruni réfléchit, ce qui eut pour conséquence de lui tailler une seconde ridule. « Pourquoi n’envoies-tu pas Douillet tout défoncer chez Standard & Poor’s ? Si tu lui dis qu’ils cachent des caisses de steaks, il va foncer dans le tas. Ils ne t’embêteront plus avec les notes ! ».
Le président Sarkozy la contempla, abattu. « Si on perd le triple A, je perds l’élection. Je refile Angela à Hollande et on part en vacances tous les deux. De toutes manières, avec des notes pareilles, je ne vois pas ce que je vais pouvoir faire de ma vie ».
La chronique de Tanguy Pastureau
A l'année prochaine. Bon réveillon
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Bonne année à toutes les choses :
Au monde ! A la mer ! Aux forêts !
Bonne année à toutes les roses
Que l’hiver prépare en secret.Bonne année à tous ceux qui m’aiment
Et qui m’entendent ici-bas …
Et bonne année aussi, quand même,
A tous ceux qui ne m’aiment pas.(Rosemonde Gérard)
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C'était la nuit de Noël, un peu avant minuit,
A l'heure où tout est calme, même les souris.
On avait pendu nos bas devant la cheminée,
Pour que le Père Noël les trouve dès son arrivée.
Blottis bien au chaud dans leurs petits lits,
Les enfants sages s'étaient déjà endormis.
Maman et moi, dans nos chemises de nuit,
Venions à peine de souffler la bougie,
Quand au dehors, un bruit de clochettes,
Me fit sortir díun coup de sous ma couette.
Filant comme une flèche vers la fenêtre,
Je scrutais tout là haut le ciel étoilé.
Au dessus de la neige, la lune étincelante,
Illuminait la nuit comme si c'était le jour.
Je n'en crus pas mes yeux quand apparut au loin,
Un traîneau et huit rennes pas plus gros que le poing,
Dirigés par un petit personnage enjoué :
C'était le Père Noël je le savais.
Ses coursiers volaient comme s'ils avaient des ailes.
Et lui chantait, afin de les encourager :
" Allez Tornade !, Allez Danseur ! Allez , Furie et Fringuant !
En avant Comète et Cupidon ! Allez Eclair et Tonnerre !
Tout droit vers ce porche, tout droit vers ce mur !
Au galop au galop mes amis ! au triple galop ! "
Pareils aux feuilles mortes, emportées par le vent,
Qui montent vers le ciel pour franchir les obstacles ,
Les coursiers s'envolèrent, jusqu'au dessus de ma tête,
Avec le traîneau, les jouets et même le Père Noël.
Peu après j'entendis résonner sur le toit
Le piétinement fougueux de leurs petits sabots.
Une fois la fenêtre refermée, je me retournais,
Juste quand le Père Noël sortait de la cheminée.
Son habit de fourrure, ses bottes et son bonnet,
Etaient un peu salis par la cendre et la suie.
Jeté sur son épaule, un sac plein de jouets,
Lui donnait l'air d'un bien curieux marchand.
Il avait des joues roses, des fossettes charmantes,
Un nez comme une cerise et des yeux pétillants,
Une petite bouche qui souriait tout le temps,
Et une très grande barbe d'un blanc vraiment immaculé.
De sa pipe allumée coincée entre ses dents,
Montaient en tourbillons des volutes de fumée.
Il avait le visage épanoui, et son ventre tout rond
Sautait quand il riait, comme un petit ballon.
Il était si dodu, si joufflu, cet espiègle lutin,
Que je me mis malgré moi à rire derrière ma main.
Mais d'un clin d'oeil et d'un signe de la tête,
Il me fit comprendre que je ne risquais rien.
Puis sans dire un mot, car il était pressé,
Se hâta de remplir les bas, jusqu'au dernier,
Et me salua d'un doigt posé sur l'aile du nez,
Avant de disparaître dans la cheminée.
Je l'entendis ensuite siffler son bel équipage.
Ensemble ils s'envolèrent comme une plume au vent.
Avant de disparaître le Père Noël cria :
" Joyeux Noël à tous et à tous une bonne nuit "Joyeux Noël à toutes et tous

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Voici venir l'Hiver, tueur des pauvres gens.
Ainsi qu'un dur baron précédé de sergents,
Il fait, pour l'annoncer, courir le long des rues
La gelée aux doigts blancs et les bises bourrues.
On entend haleter le souffle des gamins
Qui se sauvent, collant leurs lèvres à leurs mains,
Et tapent fortement du pied la terre sèche.
Le chien, sans rien flairer, file ainsi qu'une flèche.
Les messieurs en chapeau, raides et boutonnés,
Font le dos rond, et dans leur col plongent leur nez.
Les femmes, comme des coureurs dans la carrière,
Ont la gorge en avant, les coudes en arrière,
Les reins cambrés. Leur pas, d'un mouvement coquin,
Fait onduler sur leur croupe leur troussequin.
Oh ! comme c'est joli, la première gelée !
La vitre, par le froid du dehors flagellée,
Étincelle, au dedans, de cristaux délicats,
Et papillotte sous la nacre des micas
Dont le dessin fleurit en volutes d'acanthe.
Les arbres sont vêtus d'une faille craquante.
Le ciel a la pâleur fine des vieux argents.
Voici venir l'Hiver, tueur des pauvres gens.
Voici venir l'Hiver dans son manteau de glace.
Place au Roi qui s'avance en grondant, place, place !
Et la bise, à grands coups de fouet sur les mollets,
Fait courir le gamin. Le vent dans les collets
Des messieurs boutonnés fourre des cents d'épingles.
Les chiens au bout du dos semblent traîner des tringles.
Et les femmes, sentant des petits doigts fripons
Grimper sournoisement sous leurs derniers jupons,
Se cognent les genoux pour mieux serrer les cuisses.
Les maisons dans le ciel fument comme des Suisses.
Près des chenets joyeux les messieurs en chapeau
Vont s'asseoir ; la chaleur leur détendra la peau.
Les femmes, relevant leurs jupes à mi-jambe,
Pour garantir leur teint de la bûche qui flambe
Étendront leurs deux mains longues aux doigts rosés,
Qu'un tendre amant fera mollir sous les baisers.
Heureux ceux-là qu'attend la bonne chambre chaude !
Mais le gamin qui court, mais le vieux chien qui rôde,
Mais les gueux, les petits, le tas des indigents...
Voici venir l'Hiver, tueur des pauvres gens.
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De simples bouteilles en plastique remplies d'eau et fichées sur le toit permettent à certains quartiers défavorisés de s'éclairer.
Avoir de l'électricité est souvent un luxe pour beaucoup d'habitants des quartiers pauvres des grandes villes telles que Manille, Rio ou New Delhi. Pourtant, une astuce toute simple peut permettre à des millions de personnes d'avoir un éclairage très bon marché.
C'est une invention Brésilienne et pour qu'elle fonctionne, il suffit d'une bouteille en plastique de 2L que l'on remplit d'eau et de javel et que l'on fixe à travers le toit de l'habitation. Grâce au principe de la réfraction de la lumière, la bouteille va produire une source lumineuse ayant l'intensité d'une ampoule de 50 watts.
Bien sûr, cette invention ne permet d'éclairer l'intérieur d'une maison que le jour, mais c'est déjà très important pour des personnes qui n'ont pas suffisamment d'argent pour avoir l'électricité ou qui subissent des délestages importants.
Souvent très sombres, les maisons des bidonvilles s'entassent les unes contre les autres. L'invention brésilienne permet donc de faire entrer un peu de lumière dans ces cahutes, mais aussi de réduire considérablement la facture énergétique des plus pauvres.
Le concept est également écologique puisque chaque bouteille permet d'économiser 17 Kg de CO2 par an. L'idée est actuellement reprise par des dizaines de pays grâce notamment à une vidéo postée sur youtube.
Non seulement ce système peut permettre d'éclairer bon nombre de personnes sur la planète, mais il est la source d'un nouveau métier : Installateur de bouteilles. Déjà 100 000 foyers sont en passe d'être équipés aux Philippines et le projet fait des émules en Afrique du Sud, au Vietnam, au Népal, au Mexique ou encore en Colombie.
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