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    JOYEUSE SAINT NICOLAS

     

    Saint Nicolas


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    Voeux de la Saint Patrick

    Puissiez-vous avoir 

    Une maison contre le vent

    Un toit contre la pluie 

    L'amour d'une famille unie 

    Puissiez-vous toujours être entourés

    De gens joyeux et d'éclats de rire 

    De tous ceux que vous aimez  Puissiez-vous avoir 

    Tout ce que votre coeur désire.


     


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    Sensation



    Par les soirs bleus d’été, j’irai dans les sentiers,
    Picoté par les blés, fouler l’herbe menue :
    Rêveur, j’en sentirai la fraîcheur à mes pieds.
    Je laisserai le vent baigner ma tête nue.

    Je ne parlerai pas, je ne penserai rien :
    Mais l’amour infini me montera dans l’âme,
    Et j’irai loin, bien loin, comme un bohémien,
    Par la Nature, - heureux comme avec une femme.

    Arthur Rimbaud


     

    Sensation



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    Finalement, nous sommes nés à la bonne époque ! 


     NÉS ENTRE LES ANNÉES: 1930 et 1960 
     NOUS ÉTIONS PLUS FORTS 
      
     Premièrement, nous avons survécu à l'accouchement par  des mères qui nous mettaient au monde dans des conditions précaires. 

     

    Si vous êtes nés

     

      
     Elles prenaient de l' aspirine,  mangeaient de la vinaigrette, des desserts, et n'étaient  pas testées pour le diabète ou le cholestérol.  


     Après ce traumatisme, on s'endormait n'importe où, ou on nous couchait sur le ventre dans des lits à paillasse dans des chambres peintes  au plomb. 

     

    Si vous êtes nés

     


     Nous  n'avions pas de serrures aux portes.  

     


     Lorsque l'on faisait de la bicyclette, on avait des casquettes, mais pas de casques de protection. 

     

     Bébés et enfants, on nous emmenait dans de vieilles guimbardes sans chauffage, sans ceintures ni sièges pour bébés, ni air bag

     

     Être dans la benne arrière d'une camionnette par une belle journée ensoleillée était toujours quelque chose d'extraordinaire. 

     


     Nous  buvions l'eau directement de la fontaine et depuis les Romains dans les maisons les tuyaux étaient en plomb.   

      

     
     Nous mangions des gâteaux secs, du pain rassis, du vrai beurre, du saindoux du lard.


     Nous buvions du chocolat avec du vrai sucre.

     


      Et nous n'étions pas obèses, POURQUOI ?  

     
     Parce que  nous étions toujours en train de bouger, de jouer dehors...      

     
     Nous sortions de la maison le matin pour jouer toute la journée au grand air, à condition d'être revenus quand les lampadaires s'allumaient.    


    Nous prenions des heures à construire nos planches à roulettes avec lesquelles nous descendions les côtes, sans freins. Après avoir foncé dans les buissons une paire de fois, nous avons appris à gérer les problèmes.  


     Nous n'avions pas de Playstations, Nintendo, X-box, iPod.  Il n'y avait pas de jeux vidéos, pas 150 canaux au câble,pas de films vidéos ou dvd, pas de son stéréo ou de cd,pas de portable, pasd'ordinateur et pas d'Internet

      
     Nous avions des amis  et nous sortions dehors pour les retrouver ! 

     


     Nous tombions des arbres, en faisant le parachute, on se coupait, se cassait des os, des dents  et il n'y avait pas de poursuites judiciaires pour cela.  

       
     On nous offrait des fusils à plomb pour notre anniversaire,faisions des jeux avec  des bâtons et des balles, des lance-pierres, des épées, des arcs et flèches, des fléchettes, nous faisions et jouions avec des radeaux de fortune sur les rivières, nous faisions des pistes de glissades sur les inondations des prairies gelées en hiver, nous allions à l'école en culottes courtes par tous les temps, noussautions et plongions des  souches d'arbres des rivières non fréquentées,nous bricolions avec toutes sortes d'outils réputés dangereux des ateliers de nos parents, nous jouions avec des pétards à mèches, nous fumions des P4 à l'unité, nous sucions toute la journée des boite de coco, aux heures les  plus chaudes les lessiveuses étaient nos plus belles piscines, nous descendions à toutes allures les côtes en herbes des vergers sur des plaques de linoléum ou balatum l'asphalte en guise de luge.

     

     

     


     Les soirées exceptionnelles de grandes chutes de neige, nous avions la permission de jouer à la lueur des réverbères dans les rues enneigées, glissades et traineaux en bois fabriqués le jour même avec de vieilles planchettes et des cerclages métalliques d'emballages sous les patins occupaient notre temps et gelaient nos mains violettes sans gants et même si on nous disait que toutpouvait arriver, nous sommes pour la plus part toujours là.

     

     


     Nous  roulions sur nos vélos sans frein et sans éclairage marchions jusqu'à la maison d'un copain de classe ou de quartier et frappions à sa porte, nous entrions simplement, nous étions très bien accueillis.  

     


    L'idée que nos parents auraient un jour à nous faire sortir de prison était impensable, ils étaient AVEC la loi. 

     

    L'idée que nos parents puissent être contre l'avis de l'instituteur, du professeur, du policier, du gendarme, du Maire, du curé, qu'ils puissent en venir aux mains ou aux insultes étaient inimaginable.   Ces générations ont produit quelques-uns des meilleurs preneurs de risques, têtes pensantes et inventeurs de tous les temps, chefs d'entreprises,souvent autodidactes au bon sens débordant. 

     

     


     Ces 50 années ont été une explosion d'innovations et nouvelles idées. 


    Nous avions la liberté et la peur de l'échec, le succès et les responsabilités qui vont avec, mais nous avons appris comment gérer tout cela. 


     Si vous êtes un de ceux-là, si vous vous reconnaissez...


             FÉLICITATIONS!


     Peut-être que vous voulez partager ceci avec d'autres qui ont eu la chance de grandir, avant que les avocats ne viennent tout règlementer, avant que les "médias" ne prennent tant de plaisir à faire trembler les chaumières de leurs scoops dramatiques, sans certitudes...    
    juste pour le fun et le fric. 

     

    Si vous êtes nés

     


     Comme la vie était belle, limpide, parfois rude mais combien nous étions heureux ! 

     

     

    Si vous êtes nés

     

     

     


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  • Bonjour

     

    Si vous étiez un peu plus paysan, si vous saviez ce qu'est le vent d'ouest, ce qu'est une feuille, vous comprendriez de quoi il s'agit.

    Vous êtes en été, par une journée d'août où la chaleur est un mur, où l'air est une muraille épaisse, immobile ; vous aussi par ce temps-là vous êtes un peu épais ; l'oeil fixe, vous regardez sans le voir un arbuste qui surmonte la haie ; jeune châtaignier ou jeune chêne, vous ne le voyez pas d'abord puis quelque chose en vous devient un peu moins fixe, un peu plus subtil, vous commencez à percevoir un mouvement, puis vous découvrez le rameau qui s'agite ainsi, se balance sans bruit mais très vif ; vous ne tardez pas alors à l'observer de mieux en mieux, libre, fol, nerveux,ennemi du repos, vous le saisissez enfin nettement quand vous remarquez tous les autres rameaux avec leurs feuilles près de lui pétrifiés et, loin de lui, tous les arbres de plomb, tous les arbres figés alors que seul ce rameau et sa dizaine de tendres feuilles se balancent en plein coeur de l'arbuste au repos.

    Si vous me ressembliez davantage, vous sauriez que les arbres dans leur jeunesse jouent, eux aussi.

    Mais je vous le demande : que savez-vous ?

    (Georges-Emmanuel CLANCIER)

     


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  •  Accueil

     

    La famille DURATON

     

    La série a commencé en 1937 sur Radio Cité,  sous le titre "Autour de la table",  et elle s'est terminée en 1966 sur Radio Luxembourg Après avoir été un véritable phénomène de société. La série avant guerre, créée par Jean Jacques Vital,  rassemblait autour de la table, le père (Jean Granier) le fils (Jean-Jacques Vital), la fille Lisette Duraton (Lise Elina)son fiancé (Ded Rysel)  et la mère (la présentatrice radiophonique Yvonne Galli). Le feuilleton est repris en 1948 par Radio Luxembourg avec quelques modifications la famille se compose désormais du père  (Ded Rysel), de la mère ( Yvonne Galli), du fils Jean-Jacques (Jean Jacques Vital), de la femme de celui ci Jacqueline (Jacqueline Cartier puis Jacqueline Monsigny) et l'ami de la famille Gaston Duvet (Jean Carmet). Le feuilleton mettait en scène les "aventures journalières" d'un famille de français moyens. La revue "Music Hall" les présentait ainsi "On est sérieux chez les Duraton. Madame Duraton est indulgente paisible, elle aime cuisiner de bons petits plats pour sa famille. Monsieur Duraton, agent d assurances, est consciencieux, honnête, travailleur. S'il désire un peu d'indépendance c'est pour aller pêcher et non pour traîner dans les quartiers mal famés. Jacqueline et Jean-Jacques se disputent souvent, mais se réconcilient vite parce qu'ils s'aiment.

    Quant à l'ami de la famille, il est farfelu, paresseux, un peu profiteur, mais tout le monde l'adore parce qu'il a un très bon fond. Chez les Duraton, on parle du prix du lait, des impôts, des difficultés de stationnement, des ennuis de bureau. gare, si on s'écarte du droit chemin. Un vendredi Saint Madame Duraton avait préparé un gigot pour sa famille. La semaine suivante , Monieur Duraton reçut 7000 lettres de protestation" (cité par Luc Bernard dans "Europe1"). Ajoutons que Monsieur Duraton était un amateur forcené de Cabernet d'Anjou Rosé (chacun ses goûts).

    C'est bien bon le Cabernet d'Anjou (dixit Moïsette)

     

     

     

     

     

     

     

     


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  • Tombe la neige

     

    Enfin, elle est  arrivée et, de son manteau immaculé a recouvert ma campagne

     

    Je l'aime ! C'est la neige !

     Tombe la neige

    Tombe la neige

     

     

    Toute blanche dans la nuit brune
    La neige tombe en voletant,
    Ô pâquerettes! une à une
    Toutes blanches dans la nuit brune !
    Qui donc là-haut plume la lune ?
    Ô frais duvet ! flocons flottants !
    Toute blanche dans la nuit brune
    La neige tombe en voletant.

    La neige tombe, monotone,
    Monotonement, par les cieux ;
    Dans le silence qui chantonne,
    La neige tombe monotone,
    Elle file, tisse, ourle et festonne
    Un suaire silencieux.
    La neige tombe, monotone,
    Monotonement par les cieux.

    Jean Richepin

     

    Tombe la neige

     


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  • Un grand moment

     

    C'est connu mais, à chaque fois, je me régale. Pour avoir exercé dans l'enseignement, je peux vous assurer que, malheureusement,  c'est bien réel

    Le moment des corrections n'est pas triste

     

     

     

     

    Un grand moment

     

    Un grand moment


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    Un papa, c'est beaucoup de choses...
    Un papa, c'est un phare qui guide nos premiers pas.
    Il nous montre les sommets à atteindre et apaise nos peurs d'enfant.
    Il résout bien des problèmes, raconte des histoires et partage bien des rêves.
    C'est lui qui répare les objets que nous brisons.
    Quand nous sommes tristes, il l'est aussi, mais il sait rire de nos plaisanteries.
    C'est une source inépuisable de sagesse, un ami pour toute la vie.
    C'est pourquoi nous l'admirons tant et l'aimons énormément !

    (auteur inconnu)

     


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    J'espère que vous allez, toutes et tous, bien

    Que les grippés sont rétablis

    Pas trop sur le blog en ce moment mais, je pense bien à vous

     

    Photo prise de ma cuisine, hier soir vers 17h30. Derrière les arbres se trouve la forêt

     


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